Compte rendu du week-end

Nous étions dix en ce samedi 10 septembre pour le rendez-vous de la randonnée des volcans d'Auvergne proche du parc des loisirs de Vulcania.

Certains sont arrivés la veille comme Annick, Marie-Lise et René. D'autres, Monique, Ginette, Jocelyne, Sylvie C, Lizete, Sylvie S et Patrick sont à l’heure au rendez-vous fixé.

Nous commençons par marcher en forêt pour entamer la randonnée et nous contournons le Puy de Côme par l'ouest et le sud. C’est tant mieux, car la météo a annoncé de fortes chaleurs.

Le deuxième tiers de la rando, de loin la plus intéressante, consiste, dans un premier temps, à monter au grand Suchet. De son sommet, il est possible de faire un 360 degrés pour apercevoir quasiment toute la chaine des puys sauf au sud, car ceux-ci sont cachés par le Puy de Dôme, de loin dominateur. Dans la foulée, le deuxième Puy à gravir est le puy de Cliergou qui lui a la particularité d'abriter de superbes grottes qui, s'il avait plu, nous auraient permis de déjeuner à l'abri.

Après notre déjeuner une autre difficulté à surmonter consiste à gravir le Puy Pariou par des escaliers installés pour limiter le phénomène d'érosion dû à la fréquentation et aux intempéries. C’est donc 526 marches que les Cent Pas gravissent pour atteindre le Puy. En haut du Puy, nous découvrons un grand cratère où il est possible de descendre par un chemin en colimaçon.

Le troisième tiers de la rando est identique au premier, c'est-à-dire le retour au point de départ en contournant le Puy de Côme par l'est. Et là encore, le bien-être de l’ombre des arbres nous fait du bien après notre marche au soleil.

Profitons-en, car la météo s’annonce mauvaise pour le lendemain. Couvert le matin et alerte orange aux orages pour le début de l’après-midi.

Le dimanche matin le temps est effectivement couvert. Nous entamons notre randonnée après nous être garés au Parking de Vulcania. Nous montons d’abord au Puy des Gouttes, et nous foulons son cratère. Puis notre marche nous amène vers le Puy Chopine que nous contournons par l’ouest. Nous montons au Puy de la Coquille où nous pique-niquons. Par contre, quelques minutes après notre déjeuner, l’orage se met à gronder, mais il ne pleut toujours pas, ce qui nous laisse tout loisir de monter au Puy de la Jume et d’observer son cratère. Soudain la pluie se met à marteler nos sacs à dos et nous décidons de stopper pour « bâcher ».

Le retour vers les voitures s'effectue par une large piste jusqu'au parking final.

C'est sous le soleil revenu que nous convenons de nous retrouver pour la rando d'octobre dans la Creuse chez nos amis Nicole et Jean-Pierre.

Compte rendu rédigé par Sylvie SALAÜN et Patrick.